lundi 20 avril 2009

Turquie, Syrie et Irak : la guerre de l’eau aura-t-elle lieu ? | Infoguerre

Turquie, Syrie et Irak : la guerre de l’eau aura-t-elle lieu ? | Infoguerre: "Turquie, Syrie et Irak : la guerre de l’eau aura-t-elle lieu ?
25-11-2008 dans Matrices stratégiques

Conçu dans les années 1980, le projet d’Anatolie du Sud-Est (1) est un projet d’aménagement du Sud-Est anatolien mené par le gouvernement turc. Il consiste essentiellement à irriguer 1,7 million d’hectares de terres arides à partir d’un vaste système de barrages destiné à capter les eaux du Tigre et de l’Euphrate. Ce projet est gigantesque : à terme, ce n’est pas moins de 22 barrages et 19 centrales hydroélectriques qui doivent être construites au total (2). Les objectifs affichés par les architectes du projet sont particulièrement ambitieux. Il s’agit de mettre l’eau au service du développement et de la modernisation de la Turquie dans le but de tirer partie de ses ressources naturelles, en eau et en terre, et ainsi de dynamiser une région, le Sud-Est anatolien majoritairement peuplé de Kurdes, meurtrie par les conflits. Le projet de barrage doit en outre permettre au pays de répondre aux défis que lui pose son dynamisme démographique : en 13 ans la population turque a augmenté de 15 millions de personnes et dans 15 ans, on estime que la Turquie devrait compter environ 85 millions d’habitants. Les aménagements le long du Tigre et de l’Euphrate sont censés permettre le développement de l’agriculture nationale tout en fournissant en eau les grands centres urbains qui font un usage intensif de cette ressource."

L’Or bleu tibétain et l’intarissable soif de puissance de la Chine | Infoguerre

Pourquoi les Chinois tiennent-ils tant à contrôler le Tibet? Voici, probablement une partie de la réponse.

11-12-2008 dans Matrices stratégiques

Château d’eau de l’Asie, le Tibet est le berceau de la plupart des grands fleuves qui irriguent les pays asiatiques. On compte notamment le Brahmapoutre (Chine, Inde, Bengladesh), le Mékong (Chine, Myanmar, Laos, Thaïlande, Cambodge, Viêt Nam), l’Indus (Inde, Pakistan) et enfin le Fleuve Jaune et le Fleuve bleu (Chine). Pas moins de trois milliards de personnes vivent de ces ressources d’eau. Quatrième plus grand réservoir d’eau douce de la planète, le Toit du Monde est un enjeu stratégique pour l’ensemble de l’Asie et plus particulièrement pour la Chine qui y voit un moyen d’assouvir ses aspirations d’accroissement de puissance économique et politique.

L’eau, une arme politique au service de la stratégie chinoise

L’eau est source de vie. Qui tient l’approvisionnement en eau, tient le pouvoir. Les différentes dynasties chinoises l’avaient très bien compris. Ainsi l’histoire de l’Empire chinois est rythmée par la recherche de la maîtrise de cette ressource. Cette volonté se caractérise dans les idéogrammes mêmes du terme Chine, qui comprend l’idée de la maîtrise des fleuves. Les différentes politiques économiques doublées du rapide développement industriel n’ont fait qu’aggraver la situation originelle de la Chine : assèchement des sols, pollution, destruction des ressources halieutiques et des écosystèmes, intrusion d’eau saline dans les nappes phréatiques. L’eau est restée au cœur des préoccupations de la Chine. Dans ce processus de stratégie économique et d’accroissement de puissance, les eaux du Tibet sont vitales. Déjà en 2003 sur les 45000"

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mardi 14 avril 2009

Tolerance.ca® - Cuba: Obama lève les restrictions sur les voyages et les transferts d'argent

Enfin! A quand la fin de ce blocus qui n'a plus sa raison d'être depuis 1989 (JMR)

par Jordi ZAMORA
AFP - Saul Loeb*
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WASHINGTON - Le président Barack Obama a ordonné lundi la levée des restrictions sur les voyages et les transferts d'argent des Américano-Cubains vers leur pays d'origine, marquant un premier assouplissement de la politique américaine envers l'île depuis son arrivée au pouvoir.

'Le président Obama a ordonné une série de mesures en direction du peuple cubain, afin de soutenir leur souhait de jouir de droits fondamentaux et de déterminer librement l'avenir de leur pays', a dit le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs.

'Le président a donné pour instruction au secrétaire d'Etat, aux secrétaires au Trésor et au Commerce de faire le nécessaire pour que soient levées toutes les restrictions à la possibilité de rendre visite à des membres de sa famille à Cuba et de leur envoyer de l'argent', a-t-il ajouté devant la presse, en rappelant que M. Obama tenait là une promesse de campagne.

Les Américains d'origine cubaine pourront ainsi voyager à Cuba et envoyer de l'argent à leurs proches restés sur l'île, sans limitation.

Ces nouvelles règles, qui ne nécessitent pas l'accord du Congrès, concerneraient près de 1,5 million d'Américains dont un membre de la famille vit à Cuba.

Il s'agit de la première mesure du président Obama depuis son arrivée au pouvoir le 20 janvier dans le sens d'un allègement des sanctions contre l'île.

Les Etats-Unis imposent depuis 1962 un embargo à Cuba, sauf pour les produits alimentaires et pharmaceutiques. Cet embargo est régulièrement dénoncé par les Nations unies.

Les Américains d'origine cubaine ont pu se rendre librement à Cuba pendant une courte période de cinq ans, lorsque le président démocrate Jimmy Carter avait refusé en septembre 1977 de renouveler les restrictions imposées à l'île, rétablies ensuite par son successeur Ronald Reagan en avril 1982."

Pour lire cet article dans son format original et pour connaître un site "Tolérant" vous pouvez vous rendre sur Tolerance.ca

lundi 6 avril 2009

"Une présidence 2.0 ?

Barack Obama est bien de son temps. Après avoir fait une campagne par le web, après avoir rallié les forces vives de la nation américaine par le web 2.0, il tend vers la démocratie directe en se servant du web et des outils 2.0. Le chat viens donc d'acquérir ses lettres de noblesse. Ce n'est plus un amusement. C'est un outils de démocratie.(JMR)

"Une présidence 2.0 ?

Après sa victoire,Barack Obama avait promis un « gouvernement ouvert », et l'utilisation « les outils technologiques capables de promouvoir la participation citoyenne dans la prise de décision ».Deux récentes initiatives (un chat organisé depuis la Maison Blanche et l'appel à la mobilisation de ses partisans pour soutenir son projet de budget) illustrent cette nouvelle façon de gouverner à l'ère de la société numérique.

Pour la première fois, un Président américain a répondu, le 26 mars dernier, aux questions posées par les Internautes."

Pour lire cet article important au niveau social

mercredi 1 avril 2009

Les Français et la consommation durable quelles évolutions en 2009 ?

Les Français et la consommation durable quelles évolutions en 2009 ?: "Les Français et la consommation durable quelles évolutions en 2009 ?
Les Français et la consommation durable quelles évolutions en 2009 ? Ethicity présente les résultats de l’étude annuelle « Les Français et la consommation durable », menée auprès de 4 500 Français afin de définir leurs attentes en matière de consommation durable.

A l’occasion de la Semaine du Développement Durable, Ethicity présente les résultats de l’étude annuelle « Les Français et la consommation durable », menée auprès de 4 500 Français afin de définir leurs attentes en matière de consommation durable.



Pour 30% des Français, consommer de manière responsable c’est consommer moins en général et pour 46% moins de produits superflus. Près de 70% des Français interrogés considèrent que la manière dont ils consomment peut avoir un impact plutôt positif sur l’environnement. 20% estiment qu’au travers leur choix d’achat, ils agissent au service de leur conviction. Ils sont 66% à déclarer faire des achats responsables, dont 20% qui disent le faire régulièrement."

Les grands enjeux économiques du G-20 - Détail d'article

Les grands enjeux économiques du G-20 - Détail d'article: "Rarement aura-t-on vu un sommet du G-20, qui s'ouvre demain à Londres, attirer autant l'attention. Voici les principaux sujets qui feront l'bjet de débats dans les prochaines heures.

-- Relance économique: les Etats-Unis et la Grande-Bretagne demandent aux pays de l'Union européenne de nouveaux plans de relance pour stimuler l'économie. Ils se sont jusqu'ici heurtés au refus des Européens, en particulier de l'Allemagne, et la possibilité qu'un paquet de mesures fiscales spécifiques et coordonnées soit adopté paraît mince.

-- Sauvetage des banques: pour assainir le système et relancer le crédit, les dirigeants du G-20 devraient s'entendre sur la nécessité d'extraire les titres douteux des livres de comptes des banques. De nouvelles injections de capitaux dans les banques pourraient également être jugées nécessaires.

-- FMI: le Fonds monétaire international (FMI) devrait voir ses réserves augmentées pour lui permettre de prêter de l'argent aux pays en difficultés financières. L'Union européenne souhaite que le FMI puisse disposer de 500 milliards de dollars (375 milliards d'euros). En échange de contributions en hausse, certains pays comme la Chine exigent d'avoir leur mot à dire sur la gestion du FMI et de la Banque mondiale.

-- Commerce international: les participants au sommet devraient s'entendre sur la nécessité de relancer le commerce international, qui se contractera de 9% en 2009, selon les dernières prévisions de l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Ils devraient une fois de plus rejeter d'éventuelles mesures protectionnistes, même si, selon la Banque mondiale, 17 pays du G-20 ont déjà eu recours à ce type de pratiques depuis le dernier sommet en novembre à Washington.

-- Fonds spéculatifs: un renforcement de la surveillance des fonds spéculatifs ('hedge funds') devrait être annoncé, les pays du G-20 souhaitant contrôler les activités de ces fonds accusés d'avoir aggravé la crise financière. Présentant son plan de réforme de la régulation du système financier américain le 26 février dernier, le secrétaire au Trésor Timothy Geithner avait annoncé que les plus gros hedge funds seraient désormais obligés de se déclarer auprès de la SEC (Securities and Exchange Commission), le gendarme de la bourse américaine.

-- Paradis fiscaux: les dirigeants du G-20 souhaitent éliminer les paradis fiscaux, notamment pour récupérer plusieurs milliards de recettes fiscales évaporées et financer d'éventuels nouveaux plans de relance.

-- Devises: la récente demande de la Chine, qui souhaite une nouvelle réserve de devises supranationale pour remplacer ou compléter le dollar, ne devrait pas être validée."